Mon arrivée aux Philippines
C’est auprès de la compagnie Saudia Airlines que j’ai effectué le trajet depuis Paris vers Manille. Au départ de ma première escale, il y a eu un retard de 2h30 dû à un problème technique. Et par ce fait, j’ai raté ma correspondance pour arriver à Puerto Princesa. En conséquence à ce problème, c’est auprès de la compagnie que je me suis dirigée, aidée par une dame qui était assise à côté de moi durant l’avion et qui m’a accompagné auprès des supérieurs. Une superbe rencontre avec cette gentille dame venant de Suisse et originaire des Philippines.
Arrivée à l’aéroport de Manille, pas une minute à perdre, la compagnie m’a pris en charge. Cela s’est fait très rapidement, à peine eu le temps de réaliser que j’étais arrivée, après plus d’une journée dans les transports etc. Ce sont deux agents de la compagnie (John et Kino) qui m’ont accompagné, pris mes bagages du début jusqu’à la fin, et avec qui j’ai pris le taxi pour changer de terminal. Ils m’ont réservé un avion pour Puerto Princesa le lendemain matin à la première heure. Après plusieurs heures passées ensemble, ils m’ont appris mes premiers mots en Tagalog. Cela ne s’annonçait pas si compliqué que ça. J’avais juste besoin d’écrire, pour pouvoir les retenir.
Après quoi, je suis montée dans le taxi pour me diriger vers l’hôtel qui m’était tout frais payé par l’agence. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait vraiment, en dehors du fait que j’ai eu beaucoup de chance et de privilège auprès de cette compagnie. A la sortie de l’aéroport, une chaleur étouffante m’envahie, un air très chaud et humide était bel et bien présent et pesant ! Ca m’a très surprise et je me suis dit « pouaaah mon dieu, cette chaleur ». Le long du trajet, je découvre alors un peu Manille de nuit et je vois pour les premières fois, ces fameuses Jeepneys (moyen de transport public datant de la guerre du Pacifique et re-customiser). J’arrive à l’hôtel Midas et bonjour le luxe que j’avais pour quelques heures. J’ai pu commander mon repas du soir, et ce fût des lasagnes (miam, trop méga bonnes) et un petit dessert aux cassis et à la mangue. Un vrai délice. Puis place au confort que j’avais à ma portée, car après cela, je ne savais pas du tout à quoi m’attendre pour le restant des semaines/mois à venir.
